N° 356, Marguerite
Basé sur un beau dessin de Pierre Paul Prud’hon.
Le fait que la main abrite le visage crée un jeu de lumière intéressant et mystérieux.
La réalisation de ce dessin a fourni l'occasion de tester de nouvelles techniques, notamment le...

N° 356, Marguerite

Basé sur un beau dessin de Pierre Paul Prud’hon.

Le fait que la main abrite le visage crée un jeu de lumière intéressant et mystérieux.

La réalisation de ce dessin a fourni l'occasion de tester de nouvelles techniques, notamment le Carbothello blanc.

Comme le dessin d’origine n’avait pas une main finie, Swift a pris sa propre main en photo (maintes fois) pour trouver un angle qui correspondrait au reste du dessin.

Cliquez ici pour la version de Prud’hon. 33,9 x 53,9.

N° 343, Daphné
Dessin d’après un dessin de Hendrik Goltzius.
Ayant fait beaucoup de portraits par le passé, l'artist voulait gagner plus d'expérience avec les nus. Ce dessin n’étant pas très compliqué, il servait comme une base pour commencer.
Comme...

N° 343, Daphné

Dessin d’après un dessin de Hendrik Goltzius.

Ayant fait beaucoup de portraits par le passé, l'artist voulait gagner plus d'expérience avec les nus. Ce dessin n’étant pas très compliqué, il servait comme une base pour commencer.

Comme le dessin original n’avait ni la main ni le visage terminé, Swift a fait des études d’après d’autres dessins pour trouver l'attitude qui conviendrait à ce pose.

Cliquez ici pour la version de Goltzius. 29,4 x 39,9.

N° 49, Santa Bibiana
C’est une étude de torse de femme d’après un dessin du 17e de Pietro da Cortona.
N’ayant pas fait beaucoup de dessins de corps, l'artist voulait en faire un qui n’était pas très compliqué, tout en étant très beau.
On voit bien...

N° 49, Santa Bibiana

C’est une étude de torse de femme d’après un dessin du 17e de Pietro da Cortona.

N’ayant pas fait beaucoup de dessins de corps, l'artist voulait en faire un qui n’était pas très compliqué, tout en étant très beau.

On voit bien que le modèle était en fait un homme, ce qui était normal à l’époque.

Lors de sa visite au Louvre en décembre 2012, Swift a pu examiner le dessin d’origine (visible ici) qui est fait en craie rouge. 35,0 x 35,0.